Cela tombe à n’importe quelle saison. On coupe la radio, on s’accroche au volant, le brouillard est silencieux, on parle de coton ou de cocon. On aimerait voir une biche traverser. C’est elle qui s’arrête pour vous voir passer, puis elle s’élance dans cet autre monde où les humains n’imaginent plus rien. Tout ce que l’on ne voit pas est d’une merveilleuse beauté.