lundi 31 mars 2025
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Les Nouvelles gastronomiques de mars 2025

La Love Room de l’Hostellerie Velleda-Donon

Stéphanie et Thierry Grandgeorges ont entrepris de grands travaux d’agrandissement et de rénovation pour créer la nouvelle enseigne l’Hostellerie Velleda-Donon. 5 millions sont investis et dévoilent une pergola bioclimatique, une salle de séminaires et un spa de 800 m2 dotés de nombreux équipements. La nouvelle salle du petit-déjeuner vit toute la journée, se transformant en salle de brunch, de spectacle, de concert, avec piste de danse.
« Notre nouvelle chambre, la Love Room inspirée du film Cinquante Nuances de Grey, fait le buzz », se réjouit Thierry qui capte une nouvelle clientèle curieuse. La chambre est équipée d’une salle de jeu, de menottes, cravache, d’une croix SM de Saint-André. Matelassée en rouge et insonorisée, si l’on en croit les réservations, la Love Room fait sensation.

Love Room du Velleda. / ©Sandrine Kauffer

À table, il y a les spécialités, mais aussi les plats « Vent Nouveau », dont un Mafé de veau, ou encore le sanglier de la forêt en effiloché, inséré dans un bao bun en mode street food, incarnant la modernité. La tradition est exaltée par la recette de la meilleure bouchée à la reine d’Alsace 2022, médaillée d’or grâce à la légèreté de la crème émulsionnée et à sa croûte au feuilletage inversé. Situé à 1000 mètres d’altitude, le Donon fait partie de ces légendaires hauts lieux telluriques, qui nourrissent l’imaginaire. Il est à la croisée des chemins de quatre départements : 67, 88, 54 et 57, tout comme l’Hostellerie Velleda-Donon est à la croisée de sa destinée, reliée par quatre personnalités. En 2026, les fils Lucas et Thomas vont entrer dans le capital et devenir associés. La transmission d’une entreprise doit être synonyme de cadeau ou d’opportunité, mais en aucun cas de devoir, de charge ou de fardeau.

Bao Bun à l’effiloché de sanglier. / ©SK
Julien Binz dévoile sa nouvelle cuisine

Ouvert en 2015, le restaurant Julien Binz, entre dans sa 10e année et s’offre une nouvelle cuisine. 500 000 euros ont été investis pour une cuisine épurée, masculine dans des tonalités de gris souris, anthracite, rehaussées de quelques pièces décoratives noir et bronze. « Je l’ai dessinée sur mesure pour qu’elle soit optimisée par rapport à l’espace. Elle est plus fonctionnelle, plus ergonomique, plus grande, plus confortable, plus lumineuse et plus belle », s’exclame le chef. « C’est une cuisine qui me ressemble, que j’ai imaginée motivante et inspirante. Une cuisine, ce n’est pas seulement un outil de travail, c’est un lieu de vie. Nous passons bien plus de temps au restaurant avec notre équipe que chez nous ».
La nouveauté est la table du chef, installé en cuisine pour ses repas, son bureau et ses rendez-vous commerciaux, en restant en cuisine, près de son équipe, toujours disponible.

La nouvelle cuisine chez Julien Binz. / ©Sandrine Kauffer

Parmi ses nouveaux plats à l’instar de l’instant caviar devenu incontournable. Le caviar Osciètre de la maison Kaviari est déposé sur un carpaccio de daurade royale fumé minute, la truite, crème de riesling Kaefferkopf en impression rayée, choucroute d’Alsace, fait sensation et le pigeonneau d’Alsace en deux préparations, marque les esprits avec ses cuisses crispy à tremper dans une mayonnaise, condiment à l’ail noir. Le terroir toujours à l’honneur, les tortellinis au munster d’Alsace et son bouillon beurré à la crème de Tartuffon, pour finir avec un crémeux chocolat au lait-praliné escorté de sa glace café Djebenah Buna® de chez Massenez-Peureux.

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