Avec une communauté de 156 000 personnes sur Instagram et 246 000 sur Tik Tok, Léna Gross a de quoi faire des envieuses : « Je ne sais pas pourquoi ça a marché pour moi, je ne l’ai pas fait pour devenir une starlette des réseaux, j’ai commencé par partager mes aventures au quotidien, à l’école, mes voyages, mes projets, et ça a fonctionné. Ma mère me dit toujours que je suis née sous une bonne étoile, c’est visiblement le cas ! », explique Léna tout sourire.
Ses années de harcèlement au collège sont loin derrière elle et aujourd’hui, grâce à son succès sur la toile, Léna propose du contenu de plus en plus professionnel – elle est en agence d’influence – et travaille régulièrement avec des marques : « Le Racing Club de Strasbourg, Roppenheim… j’ai même été le visage de campagnes publicitaires pour du matériel équin ! Comme je suis cavalière depuis de longues années, c’est pour moi un rêve de petite fille qui continue à se réaliser ».
La tête sur les épaules
Élue deuxième dauphine à l’élection Miss Alsace en 2022, Léna ne compte pas s’arrêter en si bon chemin : « Je suis beaucoup dans la compétition, l’aventure Miss était très enrichissante, j’ai appris à m’exprimer en public, à prendre confiance en moi et je suis plutôt persévérante, je n’aime pas abandonner alors je pense réitérer l’expérience », confie-t-elle.
Son succès sur la toile pourrait devenir un job à temps plein, mais pour le moment, ce n’est pas au programme : « Ce serait le rêve de beaucoup de filles sur les réseaux, mais ma maman est très présente pour moi et me rappelle sans cesse que les études c’est très important. Tik Tok est un monde très éphémère, je pense que ça ne durera qu’un temps, alors ça restera un loisir qui me fait de l’argent de poche », conclut la jeune femme pleine d’ambition. Après ses études en commerce, Léna Gross envisage d’intégrer une école de journalisme. Elle vient d’ailleurs de commencer une chronique hebdomadaire sur Top Music où elle relaie ses bons plans sorties !